lundi 12 mars 2012

Pâques : comment organiser le blocus ?

L'avantage du blocus de Pâques est qu'il permet de prendre son temps.

Tandis qu'en décembre et mai, les examens grandissent à l'horizon tels d'immenses icebergs dont on se demande comment faire pour les négocier, Pâques est à quatre semaines minimum du début de la période d'étude de mai, donc tout va bien. Raison de plus pour ne pas laisser échapper cette opportunité de se remettre à niveau ;-)

A Pâques comme durant toute l'année, il faut faire un choix : travailler, et le faire sérieusement, ou ne pas se donner l'illusion que l'on travaille, car cela revient à perdre son temps. Feuilleter ses cours, quelques heures par jours, ne sert strictement à rien : on étudie, ou on fait autre chose.

Dès lors, le blocus de Pâques doit s'envisager avec la même rigueur que les autres : huit à neuf heures d'étude par jour, réparties en périodes d'étude de 1h30 à 2h00. Vous estimez être assez à jour pour ne pas vous obliger à travailler durant toutes les vacances de Pâques ? Alors prenez une semaine de vacances et consacrer l'autre à l'étude, mais à fond !


Ne vous fixez pas des objectifs vagues ou irréalistes, du type "revoir tous mes cours" ou "préparer l'étude" : sélectionnez-en quelques-uns, et faites-les à fond.

Telle matière vous donne des sueurs froides parce que réellement vous n'y comprenez rien ? Prenez ce cours à bras le corps pendant le blocus de Pâques, quitte à vous faire aider.

Dans telle autre matière, vos supports sont disparates et grevés de carences ? Pâques vous offre l'occasion d'une remise en ordre (fusion des supports, lectures connexes, etc.) et, tant que vous y êtes, mettez le problème derrière vous en étudiant la matière comme si vous étiez interrogé dessus le lundi après Pâques !

Pâques est l'indispensable tremplin de la réussite en juin.

C'est pour cela que, depuis dix ans, nous expliquons à nos étudiants que la réussite en juin commence à Pâques !

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